dimanche 24 août 2008

15h13.

"il n'était plus possible d'entrer encore dans ces querelles partisanes. personne de conscient, même très imparfaitement, ne pouvait encore choisir une cause ou une éthique simple, et vomir tout le reste. Julien savait qu'il est des époques pour les cathédrales, pour les révolutions, pour les fusils. La nôtre demandait que l'on se prenne la tête à deux mains. comprendre, ne plus juger selon les vieux schémas, comprendre vraiment, comprendre, et puis, peut être aussi, aimer. le 19ème siècle de la réaction et du socialisme fut imprécatoire. les séquelles de ces vieilles colères résonnèrent jusqu'à la mort de Louis-Ferdinand Céline. Il fut un temps où la rage droitière faisait le style. Puis la gauche et ses idées abimèrent le verbe qui n'est qu'un luxe au profit des valeurs humaines. On entrait dans le Troisième âge. Il allait bien falloir que les deux se rejoignent".

samedi 9 août 2008

15.12h


et puis qu'est ce qu'elle est chiante l'autre à essayer par tous les moyens d'attirer l'attention, les larmes et les oh d'admiration. jouer à faire la femme-enfant à qui tout réussi, et pour ça n'hésiter devant rien, et toujours se garder les pieds bien au chaud sous la couverture. quelle pimbêche. quelle égocen-triste. quelle conne.

Je crache sur tout avec une haine fielleuse et pas intelligente du tout. mais c'est ma page.

vendredi 8 août 2008